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L’ ECONOMIE SOUTERRAINE DE LA DROGUE
Depuis plusieurs dizaine d'années, la CIA organise un trafic de drogue au niveau mondial.
Deux agents de la S. E. malienne trafiquants



L'agence de renseignement Américaine est depuis des années à l'origine, tout aussi bien complice, et un partenaire actif dans l'entreprise criminelle du trafic internationale de la drogue. Surtout par le soutien logistique qu'elle apporte pour assurer la circulation des cargaisons et pour les faire entrer aux Etats-Unis et en Europe.
Le trafic organisé pendant la guerre du Vietnam.
     Nous      avons peut être là, un des plus grand secret de la guerre du   Vietnam.    C'est grâce à     cette guerre, que LONDRES via la CIA a pu   prendre  le  contrôle du "Triangle  d'Or" au cours de cette période.   Ensuite,  avec  l'aide de différents  éléments du crime organisé, ils   ont  expédiées  d'énormes     quantités d'héroïne provenant de cette   région  vers les  Etats-Unis et  l'Europe.
Le transport de la drogue par la CIA. La CIA utilise principalement des avions du gouvernement ou des forces armées, de différente contenance, pour faire entrer la drogue aux Etats-Unis. Les documents d'un procès révéleront que l'agence a employée des avions militaires camouflés aux couleurs du service des forêts (le "US Forest Service", qui s'occupe des gardes-forestiers, des RANGERS et de la surveillance des parcs nationaux). Mais elle emploiera aussi carrément des avions "gros porteurs". Avec la guerre anti-terroriste et l'invasion du G-8 ern Afghanistan, les régions frontalières du Pakistan et d'Afghanistan deviendront alors le premier producteur mondial d'héroïne, fournissant 60% de la demande Américaine. Et au Pakistan, la population toxicomane passera de près de zéro en 1979 à un million deux cent mille en 1985. La CIA se retrouvera à contrôler ce trafic d'héroïne.
Les Rangers canadiens garantissent une présence militaire dans le Nord canadien.

Suite     aux attentats de 2001 aux Etats-Unis, le gouvernement Britannique de     Tony Blair, s'est vu confiée par le "G-8" (le groupe des principaux   pays   industrialisés) la tâche de réaliser un programme d'éradication   des   drogues, qui, en théorie, devait permettre aux agriculteurs   afghans de   passer de la culture du pavot à des cultures de   substitution. Les   Britanniques travaillaient de Kaboul en liaison   étroite avec l'Opération   confinement", de la DEA Américaine.
Le   programme Anglais   d'éradication des cultures, parrainé par les pays   occidentaux n'était en   fait qu'un écran de fumée. Depuis octobre 2001,   la culture du pavot   n'ayant fait qu'augmenter. La présence des  forces  d'occupation en   Afghanistan n'ont pas abouti à l'éradication  de la  culture du pavot.   Bien au contraire. 
 NOS FRÈRES ET SŒURS AUTOCHTONES SE TAISENT ET SE FONT AINSI COMPLICES
NOS FRÈRES ET SŒURS AUTOCHTONES SE TAISENT ET SE FONT AINSI COMPLICES‘’Pour entrer à la Texas Ranger Division ou autres divisions mondiales des Rangers, il faut avoir réussi l'examen d'entrée. Et savoir tirer, connaître les rudiments du droit. Être d'une moralité exemplaire, avoir foi en son pays, respecter son drapeau et son Président…. Donc être fasciste-de-droite… Bref, ne pas être un gauchiste.’’ Donc, pour eux il ne faut pas défendre le Peuple mais hélas que l’État, maintenant vous comprenez combien le peuple est démonisé par le gente militaire facile à acheter pour un job de tueur. (soldat)





 Vous         allez comprendre pourquoi la monarchie britannique donne autant         d'argent aux Autochtones : c'est que Londres utilise de ces  Indiens    pour     son Commerce Mondial des drogues et pour nous  surveiller
Vous         allez comprendre pourquoi la monarchie britannique donne autant         d'argent aux Autochtones : c'est que Londres utilise de ces  Indiens    pour     son Commerce Mondial des drogues et pour nous  surveiller



De         nombreux Rangers canadiens du 1 GPRC sont des Inuit dont la   langue       maternelle est l’Inuktitut. D’autres parlent le déné ou   d’autres       dialectes.
Leur travail consiste à faire des patrouilles de souveraineté, à inspecter l’équipement du Système d’alerte du Nord et à guider des membres des Forces ARMÉES canadiennes dans des exercices terrestres.
La Force opérationnelles interarmées du Nord (FOIN) est le secteur d’attache du 1er Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (1 GPRC); il comprend le Nunavut, le Yukon, les Territoires du Nord-ouest,et le nord de la Colombie-Britannique.

Son quartier général se trouve à Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest.

Les Rangers canadiens du 1 GPRC surveillent les frontières du Nunavut, du Yukon, et les Territoires du Nord-ouest,et le nord de la Colombie-Britannique. Le 1 GPRC comprend plus de1 500 Rangers canadiens répartisdans 56 patrouilles ou communautéset plus de 1 500 Rangers juniorscanadiens répartis dans 35 communautés.
Les Rangers canadiens du 2 GPRC surveillent les frontières du Québec, ils ont reçu la mention élogieuse du CEMD (Chef d’état-major de la Défense) ....... Son quartier général se trouve à Saint-Jean.
Les Rangers canadiens du 3 GPRC surveillent les frontières de l'Ontario, il comprend 422 Rangers canadiens et 303 Rangers juniors canadiens répartis dans 15 patrouilles ou communautés.
Les Rangers canadiens du 4 GPRC surveillent la Colombie-Britannique, le nord de l'Alberta, la Saskatchewan et le Manitoba. Son quartier général se trouve à Victoria (C.-B.). Le 4 GPRC empêche les malheureux pauvres immigrants d'entrer chez-nous. Il comprend 695 Rangers canadiens répartis dans 38 patrouilles ou communautés et 324 Rangers juniors canadiens répartis dans 17 patrouilles ou communautés. Les Rangers canadiens de la Colombie-Britannique ont beaucoup aidé la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et les autorités policières locales à patrouiller les eaux et la côte ouest du Canada. Les Rangers canadiens ont contribué aux efforts de lutte contre l’entrée illégale d’immigrants chinois au Canada.
*** Quand Londres utilise de nos Indiens pour nous espionner et nous empêcher .....
 Le Secteur de l’Atlantique de la Force terrestre (SAFT) est le secteur d’attache du 5e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (5 GPRC)           et il comprend Terre-Neuve et le Labrador. Son quartier  général     est      partagé entre Halifax (Nouvelle-Écosse) et Gander      (Terre-Neuve). Le   5 GPRC comprend         743 Rangers canadiens répartis dans 30 patrouilles ou    communautés    et    266 Rangers juniors canadiens répartis dans 12    patrouilles et       communautés.Les Rangers Canadiens du 5 GPRC sont   des gens de  métiers   de     même que des bûcherons et des pêcheurs   d’expérience,  comme leurs       homologues de la côte ouest. Ils participent notamment à des patrouilles  côtières.
Le Secteur de l’Atlantique de la Force terrestre (SAFT) est le secteur d’attache du 5e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (5 GPRC)           et il comprend Terre-Neuve et le Labrador. Son quartier  général     est      partagé entre Halifax (Nouvelle-Écosse) et Gander      (Terre-Neuve). Le   5 GPRC comprend         743 Rangers canadiens répartis dans 30 patrouilles ou    communautés    et    266 Rangers juniors canadiens répartis dans 12    patrouilles et       communautés.Les Rangers Canadiens du 5 GPRC sont   des gens de  métiers   de     même que des bûcherons et des pêcheurs   d’expérience,  comme leurs       homologues de la côte ouest. Ils participent notamment à des patrouilles  côtières.
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IL Y A DES DIVISIONS DES RANGERS AUTOUR DE TOUS LES PAYS ENTRE LEURS FRONTIÈRES. L'ALLIANCE INTERNATIONALE DES ÉTATS engage des ''nonames'' pour surveiller les Frontières de partout.
En voici quelques uns de ces Rangers
Texas Ranger Division (en français Division des Patrouilleurs du Texas. C’est une agence de police d'État, basée à Austin dans l'État du Texas, aux États-Unis.
Arkansas, son père reçoit l'autorisation de la Nouvelle-Espagne de faire venir au Texas 300 colons anglo-saxons
NAISSANCE DE L’ARMÉE DES RANGERS DES ÉTATS-UNIS
Avec le début de la Deuxième Guerre mondiale, des Bataillons de Rangers ont été formés et devaient avoir la même spécialité de formation que les commandos britanniques et la guérilla. La tâche de la formation de ces hommes était sous la responsabilité du Major Général Lucian Truscott. Truscott a estimé que cette nouvelle unité méritait un nom différent de celle des commandos britanniques. Il a choisi les Rangers après le célèbre Roger Rangers du français et Guerre indienne en 1756. Les Rangers de Rogers sont qualifiés d'excellentes tireurs d'élite.
CONDITIONS POUR ENTRER DANS UNE DES ARMÉES DES RANGERS
Le candidat doit avoir atteint l'âge de 18 ans et vouloir s'enrôler dans les Forces canadiens.
e     nombreux Rangers remplissent leurs tâches militaires en  poursuivant     leurs activités personnelles comme la pêche ou la chasse.(DONC DES ESPIONS)
Tous les Rangers reçoivent un fusil Lee-Enfield no 4 et des munitions. Ils peuvent aussi obtenir une trousse de premiers soins, un GPS (système mondial de localisation), une boussole et un appareil radio à ondes courtes en s’adressant à leur Groupe de patrouilles.
Les Rangers reçoivent jusqu’à 12 jours de solde par an en plus de la rétribution de tâches officielles des FC. Les Rangers reçoivent aussi un dédommagement pour l’usure de leurs véhicules personnels quand ceux-ci servent à des activités officielles. Enfin, les Rangers qui sont associés comme instructeurs au Programme des Rangers juniors peuvent être rémunérés pendant un maximum de 21 jours par an.
Il n’y a pas d’âge de retraite obligatoire pour les Rangers canadiens. Les Rangers peuvent servir tant qu’ils en sont capables physiquement et mentalement. En fait, c’est un Ranger qui a en ce moment les plus longs états de service continu dans les Forces Armées.
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ANNEXES
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CIA EUGÉNISTE
DROGUE POUR DÉPEUPLER
En 1980, en Bolivie, la CIA a participé au renversement d'un gouvernement réformiste démocratiquement élu et à l'installation d'une junte militaire de droite. Marquée par des arrestations en masse, la torture et les assassinats, cette prise de pouvoir est mieux connue sous le nom de " coup d'État de la cocaïne ", en reconnaissance de la coopération ouverte des caïds boliviens de la cocaïne dont avaient bénéficié les nouveaux dirigeants. En 1988, devant la sous-commission sénatoriale du sénateur Kerry sur le terrorisme, les narcotiques et les opérations internationales, des témoins ont fourni des preuves de l'existence d'un important trafic de drogue dans lequel la CIA et du personnel gouvernemental, de même que des dirigeants gouvernementaux et militaires d'un certain nombre de pays latino-américains, étaient impliqués.
Des     agents secrets de la CIA avaient utilisé les fonds venant du trafic     de  la drogue pour financer des armées contre-révolutionnaires dans    toute   la région et, dans certains cas, se remplir les poches.
La drogue comme arme de contrôle social
Outre      financer des guerres et se remplir les poches, les drogues sont    utiles   comme instrument de contrôle social. Comme les drogues ont été    de plus   en plus répandues aux États-Unis, la consommation a    spectaculairement   augmenté. La demande peut engendrer l'offre, mais    l'offre engendre  aussi  la demande. La première condition pour la    consommation est la   disponibilité, et que le produit soit amené devant    le public en quantité   abondante. Il y a un demi-siècle, les    communautés des quartiers  pauvres  urbains étaient autant dans la    misère qu'elles ne le sont  aujourd'hui,  mais on n'y consommait pas    autant de drogues, parce que  les narcotiques  n'y étaient pas déversés    avec autant d'abondance et que  leur prix  n'était pas aussi  accessible   qu'aujourd'hui. Ceux qui  veulent légaliser  le haschich  devraient   spécifier " le haschich "  plutôt que d'utiliser le   terme-générique de "   drogues " parce que, pour  beaucoup, cela veut  dire  du crack, de   l'ice, des PCB, de l'héroïne et  d'autres drogues  dures qui  ont causé   un grand nombre de victimes dans  les  communautés. Il ne  serait pas   impossible de gagner une guerre   internationale contre la  drogue si les   États-Unis acceptaient un  effort  concerté et s'ils  amenaient des  pays  comme le Pakistan,  l'Afghanistan,  la Thaïlande, la  Colombie, le  Pérou  et la Bolivie à  être aussi  acharnés à combattre leurs   trafiquants de  drogue qu'ils  ne le sont avec  leurs paysans, leurs   étudiants et leurs  travailleurs  qui se battent  pour des améliorations   sociales. La  politique  américaine est bien moins  intéressée à lutter   contre la  drogue  qu'elle ne l'est à utiliser la  drogue et les   trafiquants de  drogue  dans la guerre éternelle de  l'empire pour le   contrôle social à   l'intérieur et à l'extérieur. Tout  comme les anciens   nazis se sont   révélés utiles dans la guerre contre le  communisme,  les  trafiquants  de  drogue (dont certains sont liés à des   organisations  fascistes) le   sont pour la CIA. " Si la CIA devait   prendre pour cible  les réseaux   internationaux de la drogue ",   écrivaient Peter Dale Scott  et  Jonathan  Marshall dans Cocaine Politics   (La politique de la cocaïne)   en 1991, "  elle devrait démanteler des   sources principales de   renseignements,  d'influence politique et de   financement indirect de  ses  opérations  dans le tiers monde ". Cela   signifierait ni plus ni  moins "  qu'un  changement total de direction   pour l'institution ".  Pendant qu'il   faisait de grands discours sur la   lutte contre la  drogue, le président   Reagan a réduit d'un tiers les   fonds pour  l'application de la loi   fédérale qui vise à combattre le   crime  organisé. La Drug Enforcement   Administration a été diminuée de   douze  pour cent de ses capacités,   impliquant le renvoi de quatre cent    trente-quatre de ses employés, dont   deux cent onze agents. Le nombre    des garde-côtes a été réduit,   impliquant une moindre surveillance    côtière du trafic illicite. Le   personnel du département américain de   la  Justice a été diminué de façon   radicale, y causant une pénurie    d'avocats qu'il employait et le  forçant à  laisser tomber soixante pour    cent du nombre des procès  concernant la  drogue et le crime. Tout   ceci a  amené l'enquêteur  criminel Dan Moldea à  décrire la politique   de Reagan  sur les drogues  comme " une imposture "  et le membre du   Congrès Tom  Lewis à se  plaindre en ces termes : " Nous  n'arrêtons que   du menu  fretin, de  petites gens. Pourquoi n'arrivons-nous  pas à   coffrer les  gros bonnets ?  " L'administration Bush Sr n'a rien    rétabli de ce qui  avait fait les  frais des coupes budgétaires de   Reagan  et n'a développé  aucune  nouvelle stratégie pour faire de la   lutte contre  la drogue un   véritable combat. En fait, Bush a réduit   les patrouilles  frontalières   américaines déjà fort clairsemées,   amenant le New York  Times du 7 août   1989 à conclure : " Le montant   proposé par  l'administration Bush pour   l'année budgétaire 1990 aurait   pour effet de  réduire encore le faible   nombre d'agents  (anti-drogue)  le long des  frontières. " Comme dans  tant  d'autres  domaines de  politique publique,  l'administration Clinton  n'a  rien  fait  d'extraordinaire en matière de  lutte contre la drogue.
Au milieu du XIXe siècle, quand les Britanniques ont introduit d'énormes quantités d'opium en Chine, ce ne l'était pas en réponse à une demande des Chinois. Pour les Britanniques, c'était une manière ignominieusement commode de DÉPEUPLER la Chine.
     Ces conservateurs qui veulent légaliser les drogues, semblent     étrangement peu loquaces sur les  effets destructeurs de la drogue. On     peut comprendre qu'ils préfèrent  bien plus voir des jeunes sans   revenus   immobilisés par l'épidémie de  drogue que mobilisés par la   lutte pour   une redistribution des ressources  publiques au profit de   la  population.  Ils préfèrent que les jeunes des  quartiers ne parlent   pas  de  révolution - comme l'ont fait ceux d'une  génération  précédente  en   rejoignant les Young Lords, les Blackstone  Rangers ou     les Black Panthers - mais soient plutôt occupés à se détruire      eux-mêmes avec des seringues et les uns les autres avec des armes à      feu.
Les drogues sont un instrument important de répression et de contrôle social. Les impérialistes britanniques le savaient et il en va de même pour les faiseurs d'opinion conservateurs, la police, la CIA et la Maison- Blanche. De Harlem au Honduras, l'empire utilise n'importe quel moyen à sa portée pour garder des populations tourmentées dans la démoralisation et la désorganisation.
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